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L'extrême-droite, les nazis, les racistes, les réactionnaires (etc) prétendent que les immigrés ne veulent pas s'intégrer, et que certains ne font même pas l'effort d'apprendre la langue du pays d'accueil.
C'est évidemment faux. Et la meilleure contre-attaque face à cette propagande nauséabonde et raciste nous est fournie par la police allemande.
D'après un journal local1, elle a découvert sur un des suspects des agressions de Cologne, outre des vidéos des agressions sur son téléphone portable, une petite liste manuscrite comportant des mots en arabe, avec leur traduction allemande: "gros seins", "je veux baiser", "je veux t'embrasser", "je vais te tuer".
Comme quoi, certains immigrés ont sérieusement préparé leur voyage, y compris en se fabriquant un petit vade mecum comportant le vocabulaire minimal de base.
1- Tim Stinauer: "Polizei findet Ubersetzungszettel bei Verdächtigen", dans le Kölner Stadt Anzeiger du 8 janvier 2016.
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Nous sommes parfois critiqués pour notre manque d'ouverture, et, à juste titre, pour notre méconnaissance du monde arabo-musulman.
Ces deux dernières années, j'ai pu découvrir deux mots et notions de l'immigration arabo-musulmane: le djihad al-nikah1 et le taharrush gamea2.
Pour être très honnête, je ne suis quand même pas très pressé d'apprendre un nouveau mot d'arabe.......
1- Voir chronique du 23 juin 2015: "Djihad au féminin" (lien)
2- Voir chronique du 2 mars 2016: "Taharrush gamea" (lien)
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Après les événements de Cologne1, certains commentateurs n'ont pu faire autrement que d'admettre la réalité, et de reconnaître qu'un problème se posait. D'autres, forcés de constater la réalité, l'ont partiellement admise, mais en relativisant l'impact de l'immigration musulmane.
Mais le plus stupéfiant, c'est d'avoir pu lire ou entendre des propos, inimaginables jusque fin 2015, sous la signature de promoteurs de la vague d'immigration actuelle, en vue de la justifier.
Deux exemples.
Le premier est donné par Clémentine Autain.
Dans un message sur le réseau Twitter, Clémentine Autain écrit le 12 janvier 2016: "Entre avril et septembre 1945, environ 2 millions d'Allemandes ont été violées par des soldats. La faute à l'islam?" Extraordinaire! La communiste Clémentine Autain relativise les agressions de Cologne par les viols de l'Armée rouge en 1945. Il faut une sacrée dose de ferveur immigrationniste pour qu'une élue communiste en arrive, pour défendre l'islam, à dénigrer la glorieuse Armée rouge et à reconnaître ses exactions. Ceci dit, madame Autain a quand même veillé à ne pas déclencher trop de crises cardiaques chez ses lecteurs communistes. Qui sont les violeurs des 2 millions d'Allemandes? Des "soldats". Pas des "soldats communistes", pas des "soldats soviétiques", pas des "soldats de l'Armée rouge"; juste des "soldats". Et puis, comme çà aussi, une partie de ses lecteurs, bien formatés intellectuellement, penseront que les violeurs étaient sûrement des méchants soldats allemands nazis.
Clémentine Autain est la plus remarquable dans ce domaine. Mais elle n'est pas la seule à avoir utilisé l'argument des "soldats". D'autres ont aussi relativisé les événements de Cologne, en les mettant en parallèle avec les viols en Allemagne en 1945, les viols dans le conflit de l'ex-Yougoslavie, ou dans des conflits africains.
Mais ce faisant, ces défenseurs des immigrés ne se rendent même pas compte qu'ils sont en train d'expliquer que certains immigrés musulmans se comportent en fait comme une armée d'occupation. Ils donnent de facto raison à Monica Papazu, qui déclarait dans une interview au quotidien Présent le 18 février 2016: "Ce n’est qu’incidemment que ces violences revêtent un caractère sexuel. Les viols sont une composante du comportement conquérant. Comme on le sait, les guerres, les offensives militaires s’accompagnent souvent de viols perpétrés sur les populations conquises. La conquête du territoire s’accompagne de la conquête des femmes. L’assujettissement des femmes n’est pas seulement le signe de la supériorité virile, de la victoire gagnée, du mépris pour les vaincus, dont il importe de saper davantage le moral, mais aussi celui d’une mainmise sur l’avenir, sur les nouvelles générations. Dans ce contexte, les femmes sont en premier lieu un instrument et un symbole."
Le second exemple est constitué par la publication de certains chiffres sur la criminalité en Allemagne.
Pour dédouaner les immigrés arrivés en Allemagne en 2015, les autorités allemandes ont fourni des données sur la criminalité des immigrés arrivés de plus longue date, en particulier la criminalité imputable aux immigrés maghrébins.
Certains de ces éléments ont été repris dans la presse française. Par exemple, le quotidien Libération2 évoque les "bandes de criminels originaires du Maroc et d’Algérie, particulièrement actives à Düsseldorf, mais aussi à Dortmund, Cologne, Essen ou Duisbourg". Incroyable! Quelqu'un aurait écrit çà deux mois plus tôt en France, il se serait exposé à une peine de prison pour incitation à la haine raciale.
Libération cite aussi une étude de 2014 (baptisée "Casablanca") du commissariat 41 de la ville de Düsseldorf: "Toutes les trois heures et demi, un criminel maghrébin frappe à Düsseldorf. Ce groupe de délinquants est dépourvu de toute forme de respect. Du fait de leur agressivité et de la place qu’ils occupent dans l’espace public, ils influencent de façon très négative le sentiment de sécurité des habitants."
Libération donne un chiffre, issu du rapport de la police, sur la criminalité: "A Düsseldorf, 40% des jeunes Marocains et Algériens deviennent criminels au cours des douze premiers mois de leur séjour en Allemagne, contre 0,5 % pour les Syriens." Même remarque que précédemment. Depuis que je suis en mesure de comprendre la vie politique, j'ai toujours entendu quasiment tout le monde expliquer qu'il n'y avait aucun lien entre l'immigration et l'insécurité; et les rares qui prétendaient le contraire étaient envoyés devant les tribunaux. Et maintenant, pour défendre le tsunami migratoire actuel, on nous dit en substance que les nouveaux immigrés irako-syro-érythréens sont des gens très-très bien, qui n'ont rien à voir avec avec la vague d'immigration maghrébine qui connaît un très fort taux de criminalité, qui deux mois plus tôt était nié, pendant qu'on était priés de réciter en chœur que tous les immigrés sont une chance pour l'Europe. Ceci dit, pour être honnête, Libération nous explique que les immigrés maghrébins ont un taux de criminalité gigantesque en Allemagne, mais n'a donné aucun chiffre concernant la France. Donc méfiance: la publication de tels chiffres pour la France est peut-être encore passible de poursuites judiciaires.
Comment enfin ne pas exploser de rire en lisant une description faite dans l'article? Evoquant un quartier de Düsseldorf, la journaliste de Libération écrit: "Seuls l’église et son jardin d’enfants catholique, ainsi que les petits chats en porcelaine trônant à toutes les fenêtres des rez-de-chaussée entre vitres et rideaux rappellent qu’on se trouve ici en Allemagne." Ainsi donc, il y aurait des quartiers en Allemagne qui ne seraient plus allemands?
En tous cas, les événements de Cologne constituent incontestablement une date-clé. Le fait de voir une élue communiste dénigrer l'Armée rouge, et Libération dénigrer les immigrés algériens en Allemagne, en vue de justifier la vague d'immigration actuelle, montre que quelque chose a changé, que la résistance à cette politique est sans doute en train de grossir, et que les réactions populaires et intellectuelles sont en train de s'amplifier. Mais Cologne n'en est sans doute pas la cause, mais certainement un accélérateur et un révélateur.
1- Voir chronique du 2 mars 2016: Taharrush gamea (lien)
2- Nathalie Versieux: "Cologne, le révélateur d'un échec d'intégration", dans Libération du 22 janvier 2016.
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L'Europe a accueilli en 2015 un nombre d'immigrés considérable. Le pays qui a le plus collaboré à cette arrivée massive, voire l'a même provoquée, a été l'Allemagne. En 2015, ce pays a accueilli plus d'un million d'immigrés, musulmans pour la plupart. D'autres pays en ont beaucoup moins accueilli, mais dans une proportion importante quand même, si l'on met en rapport ces arrivées avec le nombre d'habitants de la population autochtone.
Ce flux de population a provoqué des problèmes de cohabitation et d'insécurité, que les autorités et les organes de presse ont généralement dissimulés, ou minimisés. Pour ne pas augmenter l'inquiétude des populations locales face à ce flot.
Cette omerta a volé en éclats en ce début d'année 2016, après la chasse à la blanche, sur la place de la gare de Cologne en Allemagne, la nuit de la Saint-Sylvestre. Il a quand même fallu quelques jours pour que la presse mentionne les faits, d'abord de manière minimisée, puis dans toute son ampleur, c'est-à-dire plus de 500 vols et agressions sexuelles, et plus de 1000 agresseurs étrangers impliqués.
Hommes politiques et journalistes ont dû réorienter leurs discours dans un sens un peu moins immigrationniste après la publicité faite aux événements de Cologne. Mais les vieux réflexes ont la vie dure; par exemple, la réaction de madame Henriette Reker, maire de Cologne, qui, plutôt que de réclamer un arrêt de la déferlante migratoire, a conseillé aux femmes de maintenir avec les hommes "une distance plus longue que le bras".
Les agressions de Cologne n'ont pas été des événements isolés la nuit de la Saint-Sylvestre.
On a ainsi appris progressivement que d'autres agressions du même type avaient eu lieu ailleurs dans la nuit du Nouvel an. Dans les autres villes, le nombre d'agressions a été moindre. Mais le choc de l'ampleur de Cologne a projeté sous la lumière des tas d'autres agressions partout en Europe, qui, sans Cologne, seraient restés des événements isolés, et seraient restés cachées.
En Allemagne d'abord, des agressions ont été enregistrées la même nuit à Hambourg, Francfort et Bielefield. En Suisse, à Zürich. En Autriche, à Vienne, Innsbrück et Salzbourg.
Partout, les témoignages des victimes montraient, sans ambiguïté, que les agresseurs étaient étrangers, ou d'origine étrangère.
Les autorités allemandes ont été obligées de prendre en compte publiquement cette criminalité étrangère, et de fournir des éléments d'explication à leur population. Dans la conclusion de son rapport1 sur les événements de Cologne, le ministère de l'Intérieur du land de Rhénanie du Nord-Westphalie écrit: "Dans les pays arabes, un modus operandi est connu et désigné sous le terme de "taharrush gamea" (harcèlement sexuel à plusieurs dans un groupe humain)".
Les agressions de Cologne ont été médiatisées. Mais ce n'étaient pas les premières en Europe depuis le début de la vague d'immigration massive. Antérieurement à Cologne, d'autres faits similaires avaient été camouflés en Europe. Après la révélation des agressions de Cologne, des langues se sont déliées en Europe.
Des agressions antérieures avaient été cachées en Suède en 2014. Lors du festival de rock "We are Stockholm" en août 2014, des agressions sexuelles par des étrangers ont été constatées. Idem pour la version du même festival en 2015. Dans les deux cas, comme les agresseurs étaient étrangers, les faits ont été cachés par la police. Des groupes d'étrangers encerclaient les filles pour les agresser sexuellement. La police suédoise reconnaît qu'elle a caché les faits, sans donner de motif particulier. Le fait que les agressions aient eu lieu en août 2014, et que les Suédois votaient le 14 septembre 2014 pour leurs élections législatives n'a sûrement aucun rapport....
Les événements de Cologne ont aussi eu des effets sur le traitement médiatique des affaires ultérieures. Les agressions et problèmes de cohabitation ont été plus exposés qu'avant.
A Bornheim (Rhénanie du Nord-Westphalie), la piscine a été interdite en janvier 2016 aux immigrés mâles après des plaintes d'Allemandes pour harcèlement verbal; cette mesure n'a été que temporaire, le temps, semble-t-il, que des séances d'information soit effectuées pour les immigrés logés dans un centre hébergement voisin sur la manière de se conduire dans une piscine. Les problèmes dans les piscines semblent courants en Allemagne. Le Süddeutsche Zeitung3 explique que dans plusieurs piscines, des problèmes de harcèlement ont été notés, et que les immigrés se rasent, ou se coupent les ongles à la piscine.
Au Danemark, en janvier 2016, certains restaurants et discothèques ont été interdits aux personnes ne parlant pas anglais, allemand ni danois; en vue évidemment de refouler les immigrés fraîchement arrivés. Métronews2 cite le propriétaire d'un club de la ville d'Haderslev, lui-même d'origine syrienne, qui a décidé lui aussi d'appliquer cette mesure, et qui explique: "Quand ils voient une fille, ils deviennent fous, ils essaient de la toucher ou de s'agripper à ses vêtements".
Les condamnations suite aux agressions de Cologne risquent cependant d'être très "occidentales". Pour s'en convaincre, il faut lire l'article4 de Caroline Parmentier dans Présent du 26 février 2016. D'après l'article, il n'y a eu pour l'instant qu'une seule condamnation d'un agresseur, un Marocain, pour un vol d'appareil photo à l'arraché, à 6 mois de prison avec sursis, "c'est-à-dire rien". En revanche, le quotidien Présent reprend aussi des informations du Süddeutsche Zeitung, indiquant qu'une enquête a été ouverte contre des policiers fédéraux allemands pour violation du secret professionnel, pour avoir révélé au public que des agressions avaient eu lieu à Cologne, alors que les autorités cachaient ces événements. Dans cette affaire, va-t-on avoir plus de policiers condamnés que de violeurs? Va-t-on avoir des condamnations plus lourdes pour les policiers que pour les agresseurs? Car le bon millier d'agresseurs étrangers va sans doute s'en tirer sans encombres....
Néanmoins, la chasse à la blanche de Cologne, dont l'ampleur n'a pas permis qu'elle reste occultée, a sans doute marqué un tournant majeur dans l'information des peuples européens sur les réalités de l'immigration en Europe, en fracassant la propagande immigrationniste habituelle des gouvernements et de la presse dominante.
1- "Rapport du ministère de l'Intérieur sur les agressions à la gare de Cologne dans la nuit de la Saint-Sylvestre" du 10 janvier 2016.
2- Thomas Guien: "Danemark: pour entrer en boîte, les réfugiés sont priés de savoir parler anglais ou allemand", dans Métronews du 20 janvier 2016.
3- Barbara Vorsammer: "Badepass für Flüchtlinge", dans Süddeutsche Zeitung du 16 janvier 2016.
4- Caroline Parmentier: "Cologne: qui a parlé?", dans Présent du 26 février 2016.
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